[Oldies] Loaded

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Après un premier article spécial « Oldies » consacré à No One Lives Forever, on continue de voyager dans le temps pour déterrer un titre sorti peu de temps après la commercialisation de la PlayStation 1 : Loaded.

Chargé(s) à bloc

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Un peu comme dans l’œnologie, le jeu vidéo a lui aussi ses grandes années. 1995 était une de celles-ci, un millésime digne d’un véritable nectar, jugez vous-mêmes : Chrono Trigger, Rayman, Dark Forces, D (tiens, je lui consacrerai un billet à celui-là), Phantasmagoria (lui aussi), Destruction Derby, le mythique Command & Conquer et… Loaded.

loaded game
Le jeu bénéficiait de très beaux éclairages

Le jeu fut développé par Gremlin Interactive et édité par Interplay sur Playstation puis porté sur Sega Saturn. Le titre était un « top-down shooter » comme on dit désormais, mais en 1995 on disait « vu de haut ». Vous choisissiez parmi 6 personnages et pouviez jouer l’aventure complète en solo ou en coopération (à deux), ce qui n’était pas si fréquent à cette époque. Le scénario était simple : vous étiez dans une prison perdue au fin fond de la galaxie et deviez grosso modo tuer tout ce qui bouge jusqu’au boss final.

 

Les comics… aujourd’hui collectors !

Bourrin à souhait, Loaded vous invitait à repeindre l’intégralité des corridors avec les restes de ceux qui croisaient votre ligne de mire. Cette ultra violence avait d’ailleurs été assez critiquée lors de la sortie du jeu, tout comme l’ambiance plutôt malsaine de l’univers et ses protagonistes. Un an après la sortie du titre, un second opus nommé Re-Loaded sortit sur Playstation et MS-DOS mais fut mal reçu par la critique, scellant ainsi le destin de la série. A noter que le design particulier des personnages sortait tout droit de l’esprit des illustrateurs de comics Les Spink et Greg Staples. D’ailleurs pour l’anecdote, afin de présenter ses « héros », Interplay et DC Comics collaborèrent pour éditer deux numéros papier sobrement nommés Loaded et Re-Loaded. Une approche Marketing/Communication devenue presque banale aujourd’hui mais peu répandue il y a 25 ans. Inutile de préciser que ces deux comics sont désormais des objets de collection et si vous en avez des exemplaires à vendre… contactez-moi 😉

NDLR : N’oubliez pas que si des licences vous reviennent en tête et que vous aimeriez nous voir en parler ici, n’hésitez pas à nous le faire savoir en commentaires, merci !

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