Les jeux vidéo ont changé. Ils ne sont plus des petites distractions que l’on oublie dès que la console s’éteint. Nous avons désormais accès à de véritables mondes virtuels qui peuvent continuer de vivre même lorsque nous n’y jouons pas. Pour permettre de développer ces expériences et surtout de les rentabiliser, nous avons assisté à la création d’un nouveau modèle avec le “Game as a Service”
Ce modèle est vivement critiqué par les joueurs (sauf dans certains cas que nous évoquerons) et aujourd’hui, nous vous proposons d’explorer les raisons de sa popularité.
Qu’est-ce que le Game as a Service ?
Le Game as a Service consiste à proposer un jeu dont le modèle économique est basé sur la création et la mise à disposition de contenu aux joueurs après la vente du titre. À cause d’un fonctionnement évolutif, ce modèle est souvent hébergé sur des serveurs.
Les joueurs qui critiquent cette méthode mettent en avant les nombreux cas de jeux où les serveurs ont été retirés par l’éditeur par manque de joueurs ou bien les indisponibilités de serveurs qui empêchent de jouer. Heureusement, ce n’est pas quelque chose qui pourrait arriver sur un casino en ligne comme Wazamba que vous pouvez retrouver ici : https://wazambalogin.fr.
3 raisons de la recrudescence du GAAS
La rentabilité économique
Il est indéniable que les jeux coûtent de plus en plus cher à produire, contrairement aux jeux de casino disponibles sur Wazamba. Il est nécessaire d’engager des centaines de personnes pour une expérience AAA et ce type de projet prend en moyenne cinq années pour arriver à maturité.
C’est un investissement et donc un risque colossal pour un éditeur qui va y consacrer des millions sans garantie que le jeu se vendra suffisamment pour permettre de rembourser les frais de conception. Avec le GAAS, l’éditeur peut proposer du contenu qui va garder les joueurs intéressés et se rentabiliser avec des micro-transactions. Il est aussi possible d’avoir un jeu qui est joué par des milliers, voire des millions de personnes pendant un nombre d’années encore plus important. Par exemple, Fortnite est l’un des jeux les plus joués depuis 2017.
Des expériences massivement multijoueurs
Les jeux multijoueurs ont pris une place importante dans l’industrie vidéoludique et contrairement à l’expérience de casino comme celle de Wazamba, certains jeux peuvent regrouper des centaines de joueurs. Le dernier exemple d’un GAAS qui a réussi cela est Helldivers II.
Ce TPS propose à ses joueurs de débarrasser des planètes d’une invasion d’insectes géants, fortement inspirée par le film Starship Troopers. Le jeu a rencontré un franc succès, car le modèle GAAS est bien implémenté et le jeu a été pensé en tant que tel.
Des évènements arrivent dans le jeu et le développeur va alors communiquer dessus pour mobiliser les joueurs et tenter de repousser les invasions. Il y a aussi un game master qui joue parfois avec d’autres joueurs et leur permet d’essayer des objets pas encore sortis comme des véhicules ou des armes.
En bref, le GAAS est idéal pour la création d’une expérience massivement multijoueur qui va pouvoir engager une communauté et les faire interagir comme cela peut être le cas sur un casino en direct tel que Wazamba.
Créer des titres qui durent dans le temps
Si beaucoup n’y arrivent pas, la promesse du GAAS est de créer un titre iconique comme Fortnite, GTA Online ou Helldivers II qui resteront dans les mémoires et rapporteront chaque année des centaines de millions de dollars.
Dans une industrie où des milliers de jeux sortent chaque année, avoir un titre sur lequel les joueurs vont revenir régulièrement est un luxe dont peu d’éditeurs peuvent se targuer.
Un modèle destiné à perdurer ?
Le Game as a Service existe depuis de nombreuses années, même si l’on en parle que depuis très récemment. Il ne s’agit pas d’une mode passagère, mais d’un modèle économique qui a fait ses preuves à de nombreuses reprises. Malheureusement, certains éditeurs peu scrupuleux tentent de pervertir le modèle, ce qui lui donne mauvaise réputation et qui provoque des scandales comme ce fut récemment le cas avec Suicide Squad : Kill The Justice League.