ces 5 infos sur « suicide squad » qui vont vous sidérer !

Les fans de l’univers DC et des jeux vidéo sont sur le qui-vive : Suicide Squad : Kill the Justice League promet de révolutionner l’expérience avec sa sortie imminente sur PC, PlayStation 5 et Xbox Series X/S. Ce nouveau titre de Rocksteady Studios, les artisans derrière la célèbre saga Batman Arkham, s’annonce comme une aventure d’action hors normes. Préparez-vous à être stupéfiés par ces cinq éléments surprenants qui définissent le jeu.

Une trame narrative qui prolonge l’arkhamverso

L’épopée de Batman dans l’Arkhamverse peut sembler close depuis près d’une décennie, mais celle-ci se trouve en fait prolongée grâce à notre sujet d’actualité. Cinq ans après les dernières pérégrinations du Chevalier Noir, la mégalopole de Metropolis subit l’emprise de Brainiac. Ce fléau cosmique, principale menace du jeu, a transformé la cité en terrain de chasse pour des créatures déformées et a soumis les immuables membres de la Justice League à sa volonté maléfique.

Harley Quinn, Deadshot, King Shark et Captain Boomerang sont alors catapultés au cœur de cette cité piégée, où ils seront confrontés à des superhéros comme Superman et Batman, investis de nouvelles personnalités hostiles. Ces antagonismes ravivent les relations tissées durant les aventures précédentes, tout en introduisant des figures jusqu’alors éclipsées de l’Arkhamverse.

Un jeu à l’écriture cinématographique sans précédent

Malgré une dimension multijoueur, Suicide Squad : Kill the Justice League s’illustre par des séquences cinématiques pléthoriques et raffinées, reflétant la plus ambitieuse dimension narrative jamais conçue par Rocksteady. Parsemé de dialogues piquants et d’humour acéré, le jeu dépeint un panthéon de personnalités fortes, croisant antihéros décalés et super-vilains emblématiques. Tous rivalisent de profondeur et de singularité, garantissant des interactions mémorables à tout joueur endossant les rôles équivoques du Squad.

Une jouabilité dynamique imprégnée de mobilité

La dynamique des combats dimensionnels du genre beat’em up, jadis révolutionnée par le système de combat des jeux Batman : Arkham, se transpose désormais dans le genre du tir à la troisième personne. Alliant action et tir, Suicide Squad : Kill the Justice League se distingue par sa vélocité et la variété de mouvements à la disposition des joueurs. Au sein d’un Metropolis verticalelement accessible, chaque personnage de l’Escadron Suicide possède des aptitudes de déplacement distinctes, entrelacées aux mécanismes d’affrontements intenses.

Lors des escarmouches, il ne suffira pas d’aligner les tirs. Esquive, contre-attaques, brise défenses, mêlées en close-combat, utilisation stratégique des dégâts élémentaires… autant d’actions s’entremêlant dans un chaos maîtrisé, et qui exigent d’être affinées pour exploiter pleinement le potentiel du jeu.

Capitalisez sur la personnalisation des anti-héros

La richesse du système de combat de ce jeu résolument inédit se révèle aussi à travers la personnalisation avancée des personnages. Outre la sélection de skins et autres apparences cosmétiques rendant hommage à l’héritage de DC Comics, il est question de façonner les capacités et l’équipement de chaque membre de l’Escadron. Cette marge stratégique, proche des RPG, permettra d’engendrer des synergies qu’elles soient compétitives en solo ou coopératives, impliquant jusqu’à trois partenaires.

L’expérience est conçue pour être customisée à l’envi. Adapter les aptitudes, choisir son arsenal et créer des associations tactiques renouvelera sans cesse l’approche des joueurs. Ces derniers se verront invités à semer le chaos dans l’immense aire de jeu qu’est Metropolis, avec une latitude que les aficionados des jeux de rôles sauront particulièrement apprécier.

En embrassant l’ampleur et la profondeur de la saga de jeux vidéo DC proposée par Rocksteady, on pourrait comparer l’évolution ressentie avec les surprises cachées dans les manettes de la PS4. D’ailleurs, Sony a récemment failli être sanctionné par une amende de 13 millions d’euros liée à celles-ci (pour en savoir plus, cliquez ici).

Les portes de Metropolis s’ouvriront officiellement le 2 février, dévoilant une ville en pleine débâcle sous le joug de Brainiac. Cependant, les joueurs les plus impatients pourront plonger dans cette aventure trépidante dès le 30 janvier, en cas de réservation de l’édition Deluxe.

En définitive, l’excitation autour de Suicide Squad : Kill the Justice League est amplement justifiée. L’envergure narrative, la créativité visuelle, la cadence effrénée du gameplay, la capacité de personnalisation des protagonistes, mais surtout l’engagement de Rocksteady Studios à maintenir le jeu vivant et évolutif, font de ce titre une proposition irrésistible pour tout fan de l’univers DC.

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